À l’heure où le mur de Berlin venait de s’effondrer, l’une de nos collègues malheureusement trop tôt disparue, Marie-Luce Pavia, a monté un dossier européen « Tempus » sur les droits de l’homme à destination de la Bulgarie. Projet européen, il associait les universités de Barcelone, Louvain-la-Neuve, Athènes et – en France – Montpellier (représenté par Marie-Luce Pavia) et Paris X, comme on disait alors, où j’étais jeune professeur et que j’ai repreésenté dans cette entreprise.
À l’issue de ce projet qui a recueilli les félicitations du bureau européen de Turin et qui, prévu pour durer trois ans, s’est en fait prolongé deux ans de plus, il a été publié un volume bilingue franco-bulgare, dont je livre ici la partie dont je fus l’auteur.