Tout universitaire siège dans de multiples commissions, conseils, jurys – en ce qui me concerne : commission de spécialistes, conseil d’UFR, conseil scientifique, commission de la formation et de la vie étudiante, direction de masters, et premier concours d’agrégation d’histoire du droit ouvert en 2003, sous la présidence d’Anne Lefebvre-Teillard.
Mais plusieurs universitaires animent aussi un centre de recherches, comme le CEIR à La Rochelle, qui prend la suite de l’association « Méditerannées » de Paris X.
Les partenariats internationaux font aussi partie du métier de professeur d’université.
A Paris X, j’ai représenté l’institution à un programme Tempus avec la Bulgarie, autour du thème de la garantie des Droits fondamentaux. Ce programme a été prolongé par une mesure complémentaire sur le thème de la construction européenne.
A La Rochelle j’ai fait signer un accord de coopération avec l’Université « Pablo de Olavide » de Séville, où je suis allé dispenser un enseignement en espagnol,
A l’étranger, j’ai dirigé l’Institut de droit des affaires (IDAI) et la filière française de droit du Caire, à l’université de Giza.
Dans le cadre de la coopération universitaire méditerranéenne, j’ai été élu membre du Conseil scientifique de l’Ecole doctorale des juristes méditerranéens (2011).
Le 9 juillet 2015, j’ai été nommé par la préfète de région au Conseil d’administration de la Caisse d’Allocations Familiales de Charente-Maritime comme représentant des personnes qualifiées.
En 2016, en Sorbonne, j’ai été élu président de l’association « Antiquité-Avenir. Réseau des associations liées à l’Antiquité », à La Rochelle, j’ai été élu directeur-adjoint de l’École doctorale Pierre-Couvrat, et à l’étranger, je suis allé dispenser un cours en italien à l’université du Piémont oriental.
En 2020, j’ai été professeur invité à la British University in Egypt (Le Caire)